4-HO-MET

4-Hydroxy-N-methyl-N-ethyltryptamine

Psychédélique de la classe des tryptamines

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Les effets subjectifs comprennent des hallucinations visuelles géométriques, une distorsion du temps, une introspection accrue et une dissolution de l’ego.

Doser est un bon moyen de réduire les risques.

La métocine agit principalement par agonisme du récepteur 5HT2-A.

L'addictivité des psychédéliques est quasi inexistante.

Le risque principal de la 4-HO-MET est d'ordre psychologique. Un bad trip peut survenir et il est important de réfléchir au Set & Setting avec ce genre de substances !

Les mélanges sont encore à étudier. Attention aux mélanges particulièrement intenses sur le plan psychologique.

La 4-HO-MET (ou métocine) est une nouvelle substance psychédélique moins connue de la classe des tryptamines. La structure de la 4-HO-MET est apparentée à celle de la psilocine, le actif des champignons à psilocybine (“champignons magiques”). On pense qu’elle produit ses effets en se liant aux récepteurs de la sérotonine dans le cerveau.

Les effets subjectifs comprennent des hallucinations visuelles géométriques, une distorsion du temps, une introspection accrue et une perte de l’ego. Les usagers décrivent généralement la 4-HO-MET comme une version plus récréative des champignons psilocybines ou de la psilocine (4-HO-DMT), en raison de son état d’esprit moins sérieux et de l’accent mis sur les effets visuels. Les effets visuels psychédéliques de la 4-HO-MET sont considérés comme vifs et colorés.

La 4-HO-MET a été synthétisée pour la première fois par Alexander Shulgin, qui l’a décrite dans son livre TiHKAL (“Tryptamines I Have Known and Loved”) publié en 1997. Des rapports sur l’usage humain ont commencé à faire surface à la fin des années 2000, à la suite de son apparition sur le marché des produits chimiques de recherche en ligne. Elle a été vendue avec d’autres analogues de la psilocybine tels que la 4-AcO-DMT et la 4-HO-MiPT.

Les effets physiques de la Métocine sont variés et peuvent être à la fois agréables et inconfortables. Initialement, une sensation de picotement est souvent rapportée, suivie d’une réduction de la capacité de mouvement. D’autres effets initiaux incluent des frissons, de la lassitude, de la chaleur et une augmentation du rythme cardiaque souvent accompagné d’anxiété. Certains utilisateurs décrivent une stimulation physique, mais aussi des nausées à bas et haut dosage. Cependant cela ne semble pas affecter tout le monde, on peut trouver de nombreux trip reports témoignant de grosses nausées, comme absolument aucunes. Plusieurs récits mettent en lumière des effets indésirables liés à la régulation de la température et aux contractions musculaires. Des usagers ont signalé des « coups de chaleur » et une transpiration abondante a haut dosage, ainsi qu’une sensation de chaleur et de rougeur au visage et sur la partie supérieure du thorax.

« I get a slighty flushed face and on the upper chest a friend of mine does this aswell, on the comedown my body feels very dry and hot in a slighty uncomfortable way. »

La tension musculaire et les spasmes sont des effets couramment rapportés, pouvant être inconfortables et parfois effrayants :

« à 40mg, j’ai des spasmes et je transpire énormément .A 45mg, je me sentais en danger de spasmes incontrôlables, coups de chaleur et tension musculaire. »
« I was worrying about every little thing and had some physical discomfort, feeling like all my muscles were tight andI couldn’t stop thinking about my fast heartbeat » 
« I also had potential muscle tightness throughout my body; during one of my yawns later in the trip, one of my throat muscles nearly spasmed, which was concerning but ultimately avoided by stretching my neck and rubbing it. Whew. »
« My muscles felt sort of contracted and sore, and stretching felt pretty good, but it didn’t help my muscles much »
« I am beginning to warm sensations and muscle tension in my body.Heart rate increase and minor anxiety. »
« No visual effects but muscles feel very tense and I can’t stop shaking » 
« I get significant muscle spasms on metocin » 

Ces spasmes peuvent se déplacer dans différentes parties du corps :

« The muscles in my body were starting to randomly spaz out and seize up. Not my whole body at once, but just random sections of it. About every 5-10 minutes, the spasms would move to a different part of my body. It was weird. It wasn’t particularly painful, but it was uncomfortable. My body temperature was also going up as I started to sweat a lot. It felt like all of the nervous system signals in my body were going crazy and not working correctly. Then the spasms started to happen in my neck and chest »

Cette étude qui a étudié de nombreux TR sur la métocine nous dit :

« During the most powerful moments of discomfort participants also experienced somatic sen-sations of heat,sweating, cold, tension or increased heartrate. »

L’augmentation du rythme cardiaque est un autre effet fréquemment mentionné, parfois accompagné de sentiments de peur ou d’anxiété.

“I prefer to gently rail it. 10 – 20mg for me, not much tolerance really. I wouldn’t take this one too far. I find itincreases my heart rate, could be anxiety but I find it pretty stimulating especially near the end of the trip.”
« 30 mg is as far as I pushed it, no negative health effects were noted except I had to urinate frequently and I had aresting heart rate of 120 bpm for most of the trip »

Des irrégularités du rythme cardiaque et des « palpitations » ont également été signalées en fin de trip, persistant parfois pendant plusieurs jours après l’expérience.

“ I had trouble with comedown and my fried did too ! (Shallow breathing, irregular heartbeat, coldness, shaking…)”
“I took ~22mg […] But, when I started to come down my face (and some of my body) went all puffy and red”
“16mg made my heart beat abnormal on the come down. 4-ho-met felt very stimulating to me that one time. Weirdblood pressure feelings and such.”
“I’ve done HO-MET four times now. I’ve noticed that after the first experiment I would get heart « palpitations » had to describe but there was definitely something interesting going on in my chest. Went away after I started ignoring it, lasted maybe three days.”

Dans un cas extrême, un usager a ressenti des symptômes rappelant des « chocs électriques » dans l’épaule et le bras, accompagnés de vertiges, de pression dans la tête et de bourdonnements dans les oreilles, bien que les examens médicaux aient par la suite confirmé une simple « crise de tension artérielle ».

La Métocine est particulièrement réputée pour ses effets visuels vifs et colorés, considérés comme l’un de ses points forts [7, 16, 9, 27]. Ces effets sont souvent décrits comme « plus beaux que ceux des champignons ».

“The major effects for me are crazy and colourful visuals, mush nicer than mushrooms”“I took 25mg of 4-ho-met and it turned out to be one of the best and bizarre trips ever. Overall is was verymushroomy/4-aco-dmt. The onset was very fast, 20mins or so. It was extremely visual, much more than 4-acodmt. »
« We took a large-sh dose at about ~37mg […] I had intense visual distortions »

Les perceptions visuelles se manifestent de manière progressive. Au début, la netteté, le contraste et les tons de couleurs sont altérés. Par la suite, les objets se mettent à bouger, à onduler et à vibrer. Des motifs visuels, simples au départ, se transforment en formes fractales complexes, visibles les yeux ouverts comme fermés. Certains ont pu voir des images et des objets concrets, les objets existants étant interprétés comme autre chose ou se mélangeant entre eux.
Les effets visuels de la Métocine sont comparés à ceux de la DMT par certains, en raison de la nature des images et de la sensation d’être « enveloppé dans un champ » plutôt que de simplement voir des motifs tourbillonnants.

« It was extremely visual, much more than 4-aco-dmt. Also the visuals reminded me very much of nndmt.”
“5-8mg sounds about right.I’ve only had MET (80mg), was a bit like oral DMT”
“25mg of the fumarate salt was ingested tonight. It was unlike qualitatively any of the other 4 substitutedtryptamines i’ve tried (most of them). No body load, this is physically benign. the overall vibe to me felt more like n,n-dmt than mushrooms.”
“The reason i compared it to DMT was the nature of the visuals. I felt more engulfed in a field than the normal 4-substituted swirly melty cloudy visuals. The colors of the visuals also lent themselves more to my experiences with DMT.”
“Yeah, I definitely find 4-HO-MET to be the second most DMT-like of the 4-substituted tryptamines that I’ve tried so far.”

Cependant, certains usagers ont trouvé les visuels « plus ternes » ou « avec la lumière intérieure éteinte » par rapport à la DMT.

« I had intense visual distortions, much like dmt but like it was dimmer, the inner light was turned off”

En plus des effets visuels, la métocine peut induire d’autres changements sensoriels. L’audition peut être affectée, avec des « bourdonnements transitoires et aigus dans les oreilles » et des sons qui semblent plus profonds, se déforment, se mélangent ou disparaissent. Des synesthésies, où les sens se mélangent (par exemple, les sons peuvent être vus ou les saveurs entendues), a également été signalée. Une diminution de la capacité à percevoir le temps, la distance et la profondeur est aussi un effet décrit.

Les effets de la métocine sur la conscience et la cognition sont à la fois profonds et nuancés. De nombreux usagers décrivent une expérience « plus légère » ou « plus claire » que celle des champis, permettant de rester plus « lucide » et « fonctionnel » malgré les effets visuels intenses. Elle est souvent qualifiée de version « plus récréative » des champignons. Cependant, cela ne signifie pas que l’expérience est superficielle : chez certains, elle est décrite comme ayant un effet mental très marqué, dominé par la confusion et l’étrangeté, mais sans la profondeur spirituelle ou émotionnelle souvent rapportée avec les champis ou le LSD.
De façon similaire à la plupart des psychédéliques,la métocine peut provoquer un flux d’informations intense qui échappe au contrôle conscient, rendant la concentration difficile et les activités quotidiennes plus complexes.
Malgré sa réputation de drogue calme sur le mental, il est possible de vivre des expériences spirituelles, d’avoir des réalisation existentielles, mort de l’ego, sentiment d’interconnexion et d’unité. L’altération de la cognition est caractérisée par une capacité accrue à découvrir de nouvelles perspectives et à remettre en question des concepts préétablis.

 « Le jour de la sortie, 11 jours après l’admission à l’hôpital, un examen de l’état mental a indiqué qu’il n’y avait pas de maladie psychiatrique en cours, et « B » a révélé l’intégralité de son histoire. Il avait reçu de la poudre de 4-HO-MET d’un ami qui avait commandé la drogue sur Internet. « B » a inhalé environ 100 mg de 4-HO-MET le soir précédant son admission. Il a rapidement commencé à voir des portes dans la bibliothèque devant lui. Pris de panique, il a quitté l’appartement. Il a marché dans les rues qu’il a vécues comme étant sous un mètre d’eau et remplies de serpents. Il se sentait angoissé, seul et persécuté. Il sentait des insectes sous sa peau et son cœur bondissait. « B » se souvient d’avoir été admis à l’hôpital et d’avoir entendu dans sa tête la voix de son père qui lui répétait « tu n’as jamais osé plonger ». Il s’est donc échappé du service, est monté sur un toit et a « plongé » pour prouver à son père qu’il avait tort. »

Täljemark, J., & Johansson, B. A. (2012). Drug-induced acute psychosis in an adolescent first-time user of 4-HO-MET. European child & adolescent psychiatry, 21, 527-528.

De nombreux rapports anecdotiques suggèrent que la dose active peut varier considérablement. Les causes possibles peuvent être attribuées à des différences individuelles dans la neurochimie et le métabolisme, ainsi qu’à des variations dans la qualité des lots et les formes physiques (par exemple, HCl vs. sel de fumarate).

Effets
Oral
Légers
5 - 10 mg
Moyens
10 - 15 mg
Forts
15 - 20 mg
Très forts
20 + mg
Phases
Oral
Début
0.5 - 1.5 h
Effets principaux
2 - 3 h
Descente
1 - 1.5 h
Effets résiduels
2 - 12 h

Les psychédéliques classiques exercent leurs effets hallucinogènes principalement par agonisme, complet ou partiel, du récepteur sérotoninergique 5-HT2A, fortement exprimé dans les régions corticales et modulant le traitement sensoriel, la cognition et la neuroplasticité. Ce mécanisme implique l’activation des voies de signalisation couplées à la protéine Gq/11, entraînant une augmentation de la transmission glutamatergique, une altération des oscillations neuronales et une plasticité synaptique accrue, qui sous tendent à la fois les distorsions perceptuelles aiguës et les potentiels bénéfices thérapeutiques à long terme dans les troubles de l’humeur.

Si l’agonisme du récepteur 5-HT2A est essentiel, les psychédéliques présentent souvent une polypharmacologie, interagissant avec d’autres sous-types de récepteurs séroto et des cibles non-sérotoninergiques, contribuant à des différences qualitatives dans leurs effets. La pharmacologie de la 4-HO-MET a été caractérisée par des tests de liaison et des tests fonctionnels in vitro, principalement sur des récepteurs humains (sauf indication contraire), ainsi que par des modèles comportementaux in vivo comme le head-twitch-response chez la souris, un indicateur de l’activation de la 5-HT2A.

Les informations compilées ici proviennent principalement d’études sur des récepteurs humains et murins, révélant une affinité constante pour la 5-HT2A, mais des variations notables de puissance, d’efficacité et d’interactions hors cible, probablement dues à des différences méthodologiques telles que les types de tests (par exemple, liaison radioligand vs flux calcique fonctionnel), les lignées cellulaires ou les récepteurs spécifiques à chaque espèce.

La métocine est détectable via ses métabolites dans le sang après la consommation.

La métocine présente une affinité modérée à élevée pour plusieurs sous-types de récepteurs 5-HT, avec un focus particulier sur les 5-HT2. Les données varient selon les études, comme illustré dans le tableau suivant, qui compile les constantes d’inhibition (Ki) et les potentiels d’activation (EC50) rapportés.

Les divergences sont notables : par exemple, la Ki pour 5-HT2A varie de 46 nM à 177 nM, potentiellement en raison de différences dans les protocoles d’essais (compétition avec ligands radioactifs vs. high-content screening). L’activation du 5-HT2A est cohérente comme mécanisme principal, avec des EC50 basses indiquant une haute puissance, mais l’efficacité varie (54 % à 97 %), suggérant un agonisme partiel dans certains contextes.

Pour le 5-HT2B, les données sont conflictuelles : cette étude et cette étude montrent une haute affinité/puissance, tandis que celle-ci indique une faible activation, ce qui soulève des questions sur les risques cardiovasculaires, comme la valvulopathie cardiaque associée à une activation chronique de ce récepteur. De plus, une étude montre que la métocine a des effets cardiovasculaires indésirables. Ils provoquent un allongement de l’intervalle QT chez le rat, un facteur de risque connu pour les arythmies cardiaques, la fibrillation ventriculaire et la tachycardie. Cette action est liée à leur capacité à inhiber les canaux potassiques (hERG). D’autres récepteurs 5-HT (1B, 1D, 1E, 5A, 6, 7) montrent des affinités modérées (>50 % d’inhibition à 10 µM dans [17]), mais sans données fonctionnelles détaillées, leur rôle reste spéculatif.

La métocine présente une faible affinité pour les transporteurs de la norépinéphrine (NET) et de la dopamine (DAT), mais une affinité notable pour le transporteurs de la sérotonine (SERT). La métocine fait partie des tryptamines agissant le plus sur la recapture de la sérotonine.

Les variations (par ex., IC50 SERT de 830 nM en vs. 9,000 nM en) pourraient refléter des différences dans les essais (liaison vs. inhibition de la recapture).

Globalement, la métocine n’induit pas de libération massive de monoamines, contrairement aux empathogènes, ce qui théoriquement réduit les risques de neurotoxicité sérotoninergique mais son action non négligeable sur la recapture de la sérotonine pourrait expliquer nombre d’effet secondaire courant comme les spasmes, raideurs musculaires, brain zap, problème de régulation de la température et soucis cardiaques.

Les screenings identifient des hits à 10 µM pour des récepteurs comme H1 (Ki = 483 nM), alpha2A (Ki = 1,666nM), D2/D3 (Ki ~4,000–6,700 nM), et TAAR1 (Ki = 3,100 nM rat, 12,000 nM souris). Ces interactions sont généralement faibles, mais pourraient contribuer à des effets secondaires (ex. : sédation via H1). Aucune affinité significative pour les récepteurs opioïdes, sigma ou NMDA n’est rapportée.

Dans des modèles murins (C57BL/6J), la métocine induit le Head-Twitch Response avec une ED50 de 0.18 mg/kg (0.65 µmol/kg), indiquant une forte activité séroto, comparable à d’autres tryptamines. Ces effets sont médiés par les 5HT2A murins (EC50 = 2.49 nM).

Le risque d’addiction aux psychédéliques est très faible voire inexistant. C’est une drogue considérée comme très sûre, à la fois physiquement et psychologiquement. La tolérance qui s’installe rapidement limite le risque d’abus et donc de consommations répétées qui pourraient mener à une dépendance.

L’action sur le récepteur 5-HT2B, les données sont conflictuelles : cette étude et cette étude montrent une haute affinité/puissance, tandis que celle-ci indique une faible activation, ce qui soulève des questions sur les risques cardiovasculaires, comme la valvulopathie cardiaque associée à une activation chronique de ce récepteur. De plus, une étude montre que la métocine a des effets cardiovasculaires indésirables. Ils provoquent un allongement de l’intervalle QT chez le rat, un facteur de risque connu pour les arythmies cardiaques, la fibrillation ventriculaire et la tachycardie.

Globalement, la métocine n’induit pas de libération massive de monoamines, contrairement aux empathogènes, ce qui théoriquement réduit les risques de neurotoxicité sérotoninergique mais son action non négligeable sur la recapture de la sérotonine pourrait expliquer nombre d’effet secondaire courant comme les spasmes, raideurs musculaires, brain zap, problème de régulation de la température et soucis cardiaques.

Substances séroto : La métocine présente des risques additionnels par rapport aux autres hallucinogènes, en raison de son action inhibitrice de la recapture de la sérotonine. La métocine pourrait interagir de manière dangereuse avec d’autres substances affectant le système séroto, particulièrement les drogues et médicaments aux effets libérateurs ou inhibiteurs de la recapture comme le Tramadol, la MDMA, le speed, les cathinones comme la 4 et la 3-mmc, les IMAO, l’aMT, le DXM, le 2c-b-fly…
Le mélange avec ces produits pourrait causer un syndrome sérotoninergique présentant un risque mortel, caractérisé par une hyperthermie, une rigidité musculaire, des convulsions et des troubles cardiaques.

Produits Vasoconstricteurs : Éviter ces substances (comme certains décongestionnants ou stimulants), car la métocine peut déjà causer des problèmes de régulation thermique et vasculaire, potentiellement aggravant les « coups de chaleur » et les tensions musculaires rapportés, tout en causant des anomalies cardiaques.

Autres Hallucinogènes : mélanger différents psychédéliques augmente considérablement le risque de bad trip, en plus des risques évoqués liés aux mélanges avec des produits vasoconstricteurs. Revoir les dosages de chaque produit à la baisse.

Cannabis : le cannabis favorise la tachycardie, l’anxiété et la perte de contrôle sur ses pensées. Le combo avec les hallucinogènes est un facteur classique de bad trips.